Expériences de ROSENAU, suite…

septembre 17, 2022

Sans Pierre CHAILLOT je n’aurais jamais rien su de ces expériences faites il y a plus de 100 ans. Pourquoi nos épidémiologistes et autres infectiologues ne nous en ont-ils jamais parlé? Et comment peut-on encore croire à l’utilité des confinements, des masques et autres mesures quand on a lu ça?

Grippe Espagnole: Expériences de ROSENAU,(1919)

septembre 17, 2022

EXPÉRIENCES POUR DÉTERMINER LE MODE
DE PROPAGATION DE LA GRIPPE
MILTON J. ROSENAU, M.D.
BOSTON
Les expériences décrites ici ont été réalisées sur une île du port de Boston, sur des volontaires de la Marine. Les travaux ont été menés par un groupe d’officiers détachés à cet effet, de l’U. S. Navy et de l’U.S. Public Health Service, composé du Dr G. W. McCoy, directeur de l’Hygienic Bibliothèque, Dr Joseph Goldberger, Dr Leake et Dr. Lake, tous du Service de Santé Publique des États-Unis ; et coopérant avec ces médecins était un groupe également désigné à cet effet par la marine américaine, composé du Dr J. J. Keegan, du Dr. De Wayne Richey et moi-même. Les travaux eux-mêmes ont été menés à l’île Gallops,
qui est la station de quarantaine du port de Boston, et qui est particulièrement bien adaptée pour des opérations de ce genre. Très pratique pour l’isolement et l’observation des malades et pour l’entretien des nombreux bénévoles et personnels nécessaires pour s’occuper d’eux.

Les volontaires étaient tous dans un âge où on est le plus exposé (?), la plupart avaient entre 18 et 25 ans, seuls quelques-uns avaient environ 30 ans ; et tous étaient en bonne condition physique. Aucun de ces volontaires, au nombre de 100 en tout, n’avait la « grippe » ; c’est-à-dire que selon les meilleurs renseignements que nous ayons pu obtenir, ils n’ont signalé aucune poussée de fièvre d’aucune nature pendant l’hiver, sauf quelques-uns qui ont été délibérément sélectionnés parce qu’ils avaient montré des signes typiques de la grippe, afin d’étudier le problème de l’immunité et à des fins de contrôle.
Nous avons donc procédé plutôt prudemment au début en administrant une culture pure de bacille de la grippe, le bacille de Pfeiffer, en quantité assez modérée, dans les narines de quelques-uns de ces volontaires. Je reviendrai plus tard sur ces premières expériences et je passerai tout de suite à ce que je pourrais appeler notre expérience n° 1:

EXPÉRIENCES À GALLOPS ISLAND
Comme les essais préliminaires se sont révélés négatifs, nous sommes devenus plus audacieux, et nous avons selectionné dix-neuf de nos volontaires et donné à chacun d’eux une très grande quantité d’un mélange de treize souches différentes du bacille de Pfeiffer, certaines d’entre elles obtenues récemment à partir d’autopsies de poumons; d’autres étaient des sous-cultures d’âge variable, et chacune des
treize souches avait bien sûr une histoire différente. … Nous avons pulvérisé ce mélange avec un atomiseur dans le nez et dans les yeux des volontaires, puis dans leur gorge pendant qu’ils aspiraient. Nous avons utilisé quelques milliards de ces bacilles selon nos estimations sur chacun des volontaires, mais aucun d’eux n’est tombé malade.

Puis nous avons procédé au transfert de virus obtenus sur des malades de la grippe; c’est-à-dire que nous avons collecté des sécrétions des muqueuses de la bouche, du nez, de la gorge et des bronches de malades et les avons transférées à nos bénévoles. Nous avons toujours obtenu ces matières de la même manière : Le malade avec de la fièvre, au lit, a une sorte de grand plateau peu profond devant lui ou elle. Nous lavons une de ses narines avec une solution saline stérile, en utilisant peut-être 5 cm3, qu’on laisse s’écouler sur ce plateau, puis il souffle vigoureusement avec sa narine sur le plateau. On fait la même chose avec avec l’autre narine. Puis le malade se gargarise avec une partie de la solution. On obtient ensuite du mucus bronchique par la toux, puis nous écouvillonnons les muqueuses de chaque narine ainsi que les muqueuses de la gorge. Nous plaçons ces écouvillons avec les matières prélevées dans une bouteille avec des billes de verre, et ajoutons toutes les matières recueillies sur le plateau. Et c’est
celà que nous transférons à nos bénévoles. Dans cette expérience particulière pour laquelle nous avons utilisé dix volontaires, chacun d’eux a reçu une quantité relativement faible de la mixture, environ 1 cm3, pulvérisé dans chaque narine et dans la gorge, en inspirant, et sur l’œil. Aucun d’eux n’est tombé malade. Une partie du même produit a été filtrée puis instillée à d’autres volontaires mais sans résultat.
Maintenant, je peux mentionner à ce stade que les donneurs étaient tous des patients atteints de grippe dans les hôpitaux de Boston; parfois à l’hôpital naval américain de Chelsea, parfois à l’hôpital Peter Bent Brigham, où nous avons eu accès à des cas appropriés. Nous avons toujours gardé en tête
que nous n’avions pas de critères de la grippe ; c’est pourquoi je voudrais souligner le fait que nous n’avons jamais pris de cas isolés de fièvre, mais toujours sélectionné nos donneurs là où il y avait un foyer ou une flambée de la maladie, parfois une épidémie dans une école avec 100 cas, parmi lesquels nous sélectionnions quatre ou cinq cas typiques, afin d’éviter les erreurs de diagnostic.

Ensuite, pensant que peut-être notre incapacité à reproduire la maladie dans les expériences que j’ai décrites était dûe au fait que nous prélevions les matières dans les hôpitaux de Boston, puis les ramenions dans la baie à Gallops Island, ce qui nécessitait parfois quatre heures avant que nos volontaires ne les recoivent, et croyant que le virus était peut-être très fragile et ne supportait pas cette attente, nous avons organisé une autre expérience, dans laquelle nous avons obtenu une grande quantité de prélèvements que nous avons, par des arrangements spéciaux, pu ramener à toute vitesse jusqu’à l’île Gallops ; de sorte que l’intervalle entre le prélèvement des matières sur les donneurs et leur admission à
nos volontaires n’était que d’une heure et quarante minutes, en tout. Dans cette expérience chacun de ces volontaires, au nombre de dix, a reçu 6 cm3 du mélange que j’ai décrit. Ils l’ont reçu dans chaque narine, ils l’ont reçu dans la gorge et dans les yeux; et quand on pense que 6 cm3 au total était utilisé, on comprend qu’une partie était avalée. Aucun d’entre eux n’est tombé malade.
Puis, pensant que ce n’était peut-être pas seulement la durée du transport qui causait nos échecs, mais aussi la solution saline; car il est possible que la solution saline soit nuisible pour le virus – nous avons planifié une autre expérience pour éliminer à la fois le facteur temps et la solution saline et toutes les autres influences extérieures. Dans cette expérience nous avons utilisé des petits tampons en coton au bout de bâtonnets et nous avons transféré les prélèvements directement de nez à nez et de gorge à gorge, en utilisant un tube West (?) pour les prélèvements de la gorge afin d’obtenir des secrétions non seulement des amygdales, mais aussi du nasopharynx postérieur.
Nous avons utilisé dix-neuf volontaires pour cette expérience, c’était au plus fort de l’épidémie quand nous avions le choix entre de nombreux donneurs. Quelques uns étaient au premier jour de la maladie, d’autres étaient dans le deuxième ou le troisième jour. Aucun des volontaires qui ont reçu ces matières directement transférées depuis les malades ne sont eux même tombés malades de quelque manière que ce soit.
Lorsque je dis qu’aucun d’entre eux n’est tombé malade de quelque façon que ce soit, je veux dire que
après avoir reçu les matières ils étaient isolés sur l’île Gallops. Leur température était prise trois
fois par jour et soigneusement examinée bien sûr et ils étaient sous surveillance médicale constante. Ils étaient retenus pendant une semaine complète avant d’être libérés et peut être utilisés à nouveau pour une autre expérience. Tous les volontaires ont reçu au moins deux, et certains d’entre eux trois « shoots » comme ils le disaient eux mêmes.

Notre expérience suivante a consisté en des injections de sang. Nous avons pris cinq donneurs, cinq cas de grippe au stade fébrile, certains d’entre eux plutôt au début de la maladie. Nous avons tiré 20 cm3 de la veine du bras de chacun, soit un total de 100 cm3, qui a été mélangé et traité avec 1 pour cent de citrate de sodium. 10 cm3 de ce sang citraté ont été injectés dans chacun des 10 volontaires. Aucun d’entre eux n’est tombé malade de quelque manière que ce soit.

Ensuite, nous avons recueilli beaucoup de secrétions des muqueuses des voies respiratoires supérieures et les avons filtrées à travers des filtres de Mandler. Ces filtres retiendront les bactéries de taille ordinaire, mais ils laisseront passer les organismes « ultramicroscopiques ». Ce filtrat a été injecté à dix volontaires, chacun recevant 3,5 cm3 en injection sous-cutanée, et aucun d’eux n’est tombé malade de quelque façon que ce soit.

L’expérience suivante a été conçue pour imiter la manière naturelle dont la grippe se propage, du moins la façon dont nous pensons que la grippe se propage, et je n’ai aucun doute que celà se fait par contact humain . Cette expérience consistait à faire venir dix de nos volontaires de Gallops Island à l’hôpital naval américain de Chelsea, dans une salle avec trente lits, tous remplis de malades de la grippe. Nous avions préalablement sélectionné dix de ces patients pour être les donneurs ; et maintenant si vous voulez me suivre avec l’un de nos volontaires dans cette salle, en vous rappelant que les neuf autres faisaient en même temps la même chose, vous aurez une image de ce qui s’est passé pendant cette expérience: Le volontaire était conduit jusqu’au chevet du patient ; il était présenté. Il s’asseyait à côté du lit du malade.
Ils se serraient la main, et sur instructions, il s’approchait de lui autant qu’il le pouvait et ils parlaient pendant 5 minutes. À la fin des cinq minutes, le malade expirait aussi fort qu’il le pouvait tandis que le volontaire, nez à nez (en accord avec les instructions, environ 5 cm entre les deux), recevait cette expiration et en même temps inspirait pendant que l’autre expirait. Ils ont répété celà cinq fois, et ils l’ont fait plutôt fidèlement presque à chaque fois. Après avoir fait cela cinq fois, le malade a toussé
directement dans le visage du volontaire, face à face, à cinq reprises.

Je peux dire que les volontaires ont été parfaitement splendides dans la réalisation technique de ces expériences. Ils l’ont fait avec un idéalisme élevé. Ils ont été inspirés par la pensée qu’ils pourraient aider les autres. Ils ont suivi le programme dans un esprit splendide.

Après que notre volontaire ait eu ce genre de contact avec le malade, parlant et bavardant avec lui et lui serrant les mains pendant cinq minutes, et recevant son souffle cinq fois, puis sa toux cinq fois directement dans le visage, il se déplaçait vers le prochain malade que nous avions sélectionné, et refaisait la même chose et ainsi de suite, jusqu’à ce que ce volontaire ait eu ces mêmes contacts avec dix cas différents de grippe, à des stades différents de la maladie, principalement des cas récents, aucun d’entre eux n’avait plus de 3 jours. On se souviendra que chacun des dix volontaires a eu ce genre de contact intime avec chacun des dix différents malades de la grippe. Ils ont été observés soigneusement pendant sept jours – et aucun d’eux n’est tombé malade de quelque manière que ce soit

EXPÉRIENCES À PORTSMOUTH
À ce moment-là, les vacances sont arrivées, nos prélèvements étaient épuisés, et nous avons temporairement suspendu nos travaux. En fait, nous nous sommes sentis plutôt surpris et un peu per¬
plexes, et nous ne savions pas vers quelle prochaine direction aller; et nous avons pensé qu’il valait mieux souffler quelques instants et nous reposer.

Nous avons commencé une autre série d’expériences en février qui a duré jusqu’en mars, en utilisant à nouveau cinquante volontaires soigneusement sélectionnés parmi le Deer Island Naval Training Station.
Je ne vais pas décrire ces expériences en détail, celà prendrait trop de temps. Elles étaient concues simplement et le programme a été soigneusement préparé, mais la façon dont les choses se sont déroulées est devenue très confuse et déroutante. Je vais donner deux exemples pour expliquer
ce que je veux dire par là et je les donne parce qu’ils sont extrêmement instructifs et très intéressants:
En février et mars, l’épidémie était sur le déclin. Nous avons eu du mal à trouver des donneurs. Nous n’étions pas sûrs de nos diagnostics, ne connaissant pas les critères de la grippe. Nous nous sommes donc sentis très chanceux lorsque nous avons appris qu’il y avait une épidémie de grippe à la Prison navale de Portsmouth, à seulement quelques heures au nord de Boston. Nous avons tout de suite chargé nos volontaires dans des voitures et nous sommes précipités à Portsmouth , où nous avons recommencé ce que j’ai décrit dans notre première série d’expériences. A Portsmouth nous avons fait notre sélections avec soin parmi le grand nombre de cas, en prenant pour donneurs les cas typiques et transférant les matières prélevées directement à nos volontaires. En trente-six heures environ la moitié de ceux que nous avions exposés est tombée malade avec de la fièvre et des maux de gorge, avec la présence du streptocoque hémolytique (?), sans aucun doute l’agent causal. Tous les médecins qui ont vu ces cas en consultation ont convenu avec nous que c’était des cas ordinaires de maux de gorge.
Autre incident : Un de nos officiers, le Dr L., qui avait été en contact intime avec la maladie depuis
le début d’octobre, prélevait des secrétions sur six hommes en bonne santé au chantier naval de Portsmouth parce qu’on croyait qu’ils étaient en période d’incubation de la maladie. On essayait d’obtenir des prélèvements le plus tôt possible, parce que toutes les preuves semblent indiquer que l’infection est transmissible au début de la maladie. Aucun des six hommes n’attrapa la grippe, mais le Dr L. l’attrapa au bout de 36h bien qu’il ait échappé à tout le reste de l’épidémie.
CONCLUSION
Je pense qu’il faut faire très attention de ne pas tirer de conclusions positives à partir de résultats négatifs de ce genre. De nombreux facteurs doivent être pris en compte. Nos volontaires n’étaient peut-être pas vulnérables (?). Ils ont peut-être été immunisés. Ils avaient été exposés comme tout le reste de la
population à la maladie, même s’ils n’en avaient signalé aucun symptomes.

Le Dr McCoy, qui avec le Dr Richey, a fait une série d’expériences similaires sur Goat Island, San Francisco,
a utilisé des volontaires qui, pour autant que l’on sache, n’avaient pas été exposés à l’épidémie du tout, et ils ont eu également des résultats négatifs; c’est-à-dire qu’ils ont été incapables de reproduire la maladie.
Peut-être y a-t-il des facteurs, ou un facteur, dans la transmission de la grippe que nous ne connaissons pas.
En fait, nous sommes entrés dans l’épidémie avec l’idée que nous connaissions la cause de la maladie et
étions tout à fait sûrs que nous savions comment elle se transmettait de personne à personne. Si nous avons appris quelque chose, c’est peut-être que nous ne sommes pas tout à fait sûrs de ce que nous savons sur la maladie.
[Un compte rendu complet de l’expérience est en cours de publication
par le service de santé publique des États-Unis.]

Är kontaminering en myt?

août 16, 2022

Du hade desto mer rätt i att inte följa oss eftersom alla dessa frihetsdödande åtgärder förmodligen var värdelösa. Det är åtminstone vad den här danska studien, 2020, verkar visa

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205991/

där 3000 personer ombads att bära en mask och 3000 andra att låta bli och resultatet blev att 48 personer fångade Covid i det första fallet och 50 personer i det andra! Men ännu mer intressant är denna serie experiment som gjordes 1919 i USA vid tiden för Spanska sjukan

Cliquer pour accéder à rosenau-experiment-influenza-1918-min.pdf

där unga soldater, (frivilliga förstås), sjuka och inte sjuka ombads att smitta varandra: De lyckades nästan aldrig! Läs, du kommer att se att de försökte allt eftersom de gick så långt att de injicerade sjukas blod i friska individer! Om dessa experiment verkligen gjordes, och korrekt, skulle det betyda att föroreningen är en myt… Svindlande!

Covid: Bra jobbat svenskar!

août 15, 2022

Under dessa två år av Covid har fransmännen, mina landsmän, betett sig på ett ovärdigt sätt och jag vill inte längre kommunicera med dem. Så jag skriver, med hjälp av Google, på språket för det enda europeiska folket som blev stående under denna kris: Svenska folket. Självklart kommer ingen att läsa mig i Sverige men jag föredrar att inte bli läst av svenskar än att bli läst av fransmän!

Här är dödlighetssiffrorna (alla orsaker)* för Sverige 2020 och 2021, jämfört med dödligheten i grannländerna och Frankrike: Källor Wikipedia: Vital statistik.

Sverige: 2020: 9,45 dödsfall per 1000 invånare – 2021: 8,8 dödsfall per 1000 invånare.

Danmark: 2020: 9.35/1000h – 2021: 9.73/1000h.

Norge: 2020: 7,56/1000h – 2021: 7,79/1000h.

Finland: 2020: 10/1000h – 2021: 10,3/1000h.

Frankrike: 2020: 10/1000h – 2021: 9,8/1000h.

Dessa siffror talar för sig själva: Sverige har inte haft fler dödsfall än de andra länderna, förutom Finland, och detta utan lockdown eller något frihetsberövande. Sveriges hälsopolitik var därför verkligen den rätta och vår var helt enkelt absurd. Svenskarna ensamma mot alla, mitt i förolämpningsstormarna hade modet att hålla kursen, grattis till vikingarna! Och skam på oss som lägger oss som rädda vovvar inför en i stort sett inbillad sjukdom, förmodligen en något svår influensa, förvandlad till digerdöden av skrupelfria medier och profitörer av alla slag. Skäms på oss och leve Sverige!

* Den så kallade « på grund av Covid »-dödligheten är alltför tveksam. Dödlighet av alla orsaker ger en verklig uppfattning om hur allvarlig en epidemi är.

Luc Montagnier est mort

février 10, 2022

Il est mort il y a 2 jours, je viens de l’apprendre par hasard sur Facebook… Merci la presse, merci la communauté scientifique. Ah il ne fait pas bon en France d’être antivax! C’est à vomir.

Photo Reuter/Yuri Gripas

Retirer le droit de vote…

février 3, 2022


.. A tous ceux qui se sont soumis docilement aux mesures sanitaires. En renonçant à leurs libertés pour une épidémie de grippe ces gens se sont exclus de la République dont la première des valeurs est justement la liberté. Leur obéissance aveugle à des ordre souvent stupides, leur acceptation de mesures parfois inhumaines, font qu’ils ne sont plus dignes de participer au gouvernement de la Nation. Ce ne sont plus des citoyens, les prochaines élections ne les concernent pas.

2 ans de chaos pour ça!

janvier 28, 2022

Espérance de vie de 1994 à 2021 en France

C’est vrai qu’il y a une chute de l’espérance de vie en France en 2020, mais est ce que ce n’est pas un peu normal après tant d’années de progression quasi incessante? 82,8 en 2000. 85,6 en 2019, pour les femmes. 75,2 en 2000. 79,7 en 2019 pour les hommes. Devons nous indéfiniment gagner 3 mois d’espérance de vie chaque année? D’ailleurs elle est déjà repartie à la hausse et revenue au niveau de 2018 et 2016.

Source INSEE

2021=2018

janvier 22, 2022

L’INSEE nous a livré son bilan démographique pour 2021. L’espérance de vie a été de 85,4 ans pour les femmes et de 79,3 ans pour les hommes. C’est la même espérance de vie qu’en 2018 pour les femmes et 2016 pour les hommes.

Mortalité 2021

janvier 18, 2022

L’INSEE nous donne enfin les chiffres de 2021: 659 053 morts, soit 10 000 de moins qu’en 2020, mais encore beaucoup plus qu’en 2019. Nous ne retrouverons sans doute jamais les chiffres de 2019 tant il y a de babyboomers (1946/1950) qui arrivent dans les âges de forte mortalité.

Questions: Est-ce qu’il a « seulement » 659 053 morts, grâce à la vaccination, ou est-ce qu’il y a « quand même » 659 053 morts malgré la vaccination ?

Est-ce que j’aurais fait mieux?

janvier 16, 2022

Je ne peux pas m’empêcher de regarder encore et encore les chiffres des décès de 2020, année du Covid, comparés à ceux de 2019, et plus je les regarde et plus je comprends le vent de panique qui a soufflé partout. Plus 55 000 morts en France, plus 85 000 morts en Angleterre, plus 105 000 morts en Italie, plus 530 000 morts aux USA etc… Il fallait vraiment avoir des nerfs d’acier pour ne pas s’affoler! Pas facile de comprendre que la terrifiante pandémie n’était en fait qu’une grosse grippe, quand on savait compter les morts. Difficile d’admettre que cela devait arriver, avec ou sans Covid, à cause du vieillissement de nos populations. Parfois même j’ai des doutes, est ce qu’il n’était quand même pas particulièrement méchant ce virus? Est-ce que les Toubiana, les Pierre Chaillot et les autres ne se trompent pas dans leurs calculs? Et si j’avais été aux manettes est-ce que je n’aurais pas été tenté moi aussi d’enfermer et de vacciner tout le monde? J’attends avec impatience les chiffres des décès de 2021, ils devraient être inférieurs à ceux de 2020 puisque une grosse « moisson » a été faite, mais malheureusement les babyboomers en âge de mourir sont de plus en plus nombreux…