Archive for novembre 2012

Gaza, suite

novembre 24, 2012

Qu’est-ce que vous voulez dire, ils ont 160 morts, les Israéliens 5 ou 6, et ils sont contents! Pour eux c’est une victoire! Est-ce que c’est parce que la dernière fois, en 2009,  il y avait eu 1300 tués et que c’est donc un progrès? Rappelez vous à l’époque ils avaient aussi crié victoire, faut le faire! C’est ce qui s’appelle être positif; avec des gens comme ça Alésia ou Waterloo deviennent des triomphes!

… Je plaisante parce que je ne comprends pas. Quelqu’un pourrait-il m’expliquer la stratégie des Palestiniens?

Gaza

novembre 20, 2012

Je ne comprenais pas pourquoi les Gazaouis s’obstinaient à envoyer des roquettes qui n’atteignaient jamais leur but sur des Israéliens qui possèdent une des plus fortes armée du monde et qui ne sont pas commodes. Des gosses on comprendrait, ça ne peut pas s’empêcher de balancer des cailloux, mais des dirigeants responsables? Ca n’avait pas de sens. J’ai enfin compris: Gaza a un grave problème de surpopulation; 4000 habitants au km2, c’est intenable. Le Hamas utilise donc Israël pour réguler sa population! Une salve de roquettes qui atterrit dans un terrain vague et c’est à coup sûr des centaines de morts palestiniens! Autant de bouches en moins à nourrir et, d’une pierre deux coups, mauvaise image d’Israel assurée! C’est malin, diabolique même, mais permettez moi de vous dire que c’est dégueulasse.

Djellaba à Gray

novembre 14, 2012

Vu un couple qui faisait ses courses au casino de Gray, Haute Saône. Lui, grosse barbe noire, en djellaba et en sandales ; elle, en robe et voile noirs, mais le visage découvert. Ils sont l’air assez jeunes et ils vont d’un rayon à l’autre sans dire un mot, elle, tenant sa liste à la main, lui, suivant les mains dans les poches. Ils ont payé aux caisses automatiques, sans doute pour éviter tout contact. Quel courage ils ont ces jeunes musulmans de se promener ainsi dans cette tenue au milieu des paysans francs-comtois! Et comme leur message, ou plutôt comme leurs messages sont clairs: 1: Nous ne sommes pas des vôtres. 2: Vous ne nous faites pas peur.

Ivan Levaï et les poilus

novembre 11, 2012

On va me dire que je ne fais que diviser les Français alors qu’il faudrait les rassembler; mais comment rassembler des gens qui sont parfois si différents? Est-ce que c’est en niant les différences qu’on les supprime? Ainsi ce matin sur France Inter Ivan Levaï fait son speech sur le 11 novembre, il cite un article de journal:  » Nous sommes tous des enfants et petits enfants des poilus « .  Nous qui? Ivan Lavaï n’est pas un descendant de poilus, du moins pas de nos poilus à nous puisque ses parents étaient Hongrois. En 14-18 ses ancêtres étaient nos ennemis! Pourquoi ne le dit-il pas? Pourquoi ne dit-il pas que des millions de gens en France n’ont aucun lien avec nos poilus et que le 11 novembre n’est rien d’autre pour eux qu’un jour férié?

L’Amérique

novembre 6, 2012

Ils sont tous aux States nos journalistes, s’il se passait qque chose de grave en France ils seraient obligés de dépêcher un envoyé spécial. Ils sont tous là bas dans le pays qui les fait rêver, s’ils le pouvaient ils y resteraient c’est sûr, il n’y a qu’à les entendre comme ils en ont plein la bouche des USA; c’est à qui parlera le mieux anglais, aura le meileur accent, surtout le moins d’accent français! Les élections américaines les passionnent et ils s’imaginent qu’elles nous passionnent aussi, eh bien ils se trompent, elles n’intéressent qu’eux! On a déjà de plus en plus de mal à s’interesser aux élections françaises alors vous pensez, les américaines, comme on s’en fout! Bien sûr, à force de nous bassiner nuit et jour on finit par regarder ce qui se passe, mais au fond, de Mitt Romney et Barack Obama, on s’en tamponne. Nous, voyez vous, mesdames messieurs  les journalistes, ce qui nous interesse c’est plutôt ce qui arrive en France et aux Français. Pour vous faire comprendre je dirais que nous sommes un peu comme les Américains: Ils se foutent pas mal de la France et nous, nous foutons pas mal de l’Amérique.

Faurisson

novembre 3, 2012

Email reçu ce jour de Robert Faurisson:

Pour la première fois depuis la Seconde guerre mondiale, le journal Le Mondese décide

à évoquer le sort atroce qui a été celui de douze millions d’Allemands de 1945 à 1948, et cela
du fait des Alliés. La journaliste Raphaelle Branche rend compte de la publication en français du livre de l’Américain R.M. Douglas, Orderly and Humane [ton ironique]: The Expulsion of the Germans after the Second World War, sous le titre Les Expulsés, Flammarion, « Au fil de l’histoire », 506 p., 26 € ( Le Monde (des livres), 2 novembre 2012, p. 9).
Quant aux tortures infligées aux prisonniers allemands pour en extraire des « confessions » à la Rudolf Höss
sur les prétendues chambres à gaz d’exécution à Auschwitz, voyez le long texte anglais que je vous envoie
aujourd’hui même directement à la suite du présent envoi (« Torturing Arabs and Nazis »). Vu mon état de santé actuel, je suis incapable de faire plus pour ceux de mes lecteurs qui aimeraient disposer d’une traduction ou, à tout le moins, d’un résumé en français. Qu’ils veuillent bien m’excuser !
Qu’ils sachent, en tout cas, que RIEN de ce que rapportent ces journalistes français ou étrangers
n’était ignoré des révisionnistes. Au contraire, fort nombreux sont depuis 67 ans les ouvrages, les études,
les articles, les documents que les auteurs révisionnistes ont publiés sur ces sujets. Mais la voix des
révisionnistes était étouffée. On commence enfin à nous rendre raison et donc à nous rendre justice. Dans trois mois j’aurai 84 ans et dans quelque temps ma femme aura 82 ans. Dans la nuit du 15 au 16 octobre 2012, quand soudain j’ai eu l’impression que j’allais mourir, je n’en ai éprouvé aucune peur mais (égoïstement ?) j’ai pensé que j’allais enfin avoir droit au repos. En réalité, j’ai droit à un sursis.
Aujourd’hui, aux jeunes et aux moins jeunes à qui je passe le flambeau, je fais confiance pour accélérer le présent mouvement de révision générale de l’un des plus grands mensonges de toute l’histoire des hommes. Je leur dis : « N’ayez plus peur ! »
« Cordialement ».  R. Faurisson