Email reçu ce jour de Robert Faurisson:
Pour la première fois depuis la Seconde guerre mondiale, le journal Le Mondese décide
à évoquer le sort atroce qui a été celui de douze millions d’Allemands de 1945 à 1948, et cela
du fait des Alliés. La journaliste Raphaelle Branche rend compte de la publication en français du livre de l’Américain R.M. Douglas, Orderly and Humane [ton ironique]: The Expulsion of the Germans after the Second World War, sous le titre Les Expulsés, Flammarion, « Au fil de l’histoire », 506 p., 26 € ( Le Monde (des livres), 2 novembre 2012, p. 9).
Quant aux tortures infligées aux prisonniers allemands pour en extraire des « confessions » à la Rudolf Höss
sur les prétendues chambres à gaz d’exécution à Auschwitz, voyez le long texte anglais que je vous envoie
aujourd’hui même directement à la suite du présent envoi (« Torturing Arabs and Nazis »). Vu mon état de santé actuel, je suis incapable de faire plus pour ceux de mes lecteurs qui aimeraient disposer d’une traduction ou, à tout le moins, d’un résumé en français. Qu’ils veuillent bien m’excuser !
Qu’ils sachent, en tout cas, que RIEN de ce que rapportent ces journalistes français ou étrangers
n’était ignoré des révisionnistes. Au contraire, fort nombreux sont depuis 67 ans les ouvrages, les études,
les articles, les documents que les auteurs révisionnistes ont publiés sur ces sujets. Mais la voix des
révisionnistes était étouffée. On commence enfin à nous rendre raison et donc à nous rendre justice. Dans trois mois j’aurai 84 ans et dans quelque temps ma femme aura 82 ans. Dans la nuit du 15 au 16 octobre 2012, quand soudain j’ai eu l’impression que j’allais mourir, je n’en ai éprouvé aucune peur mais (égoïstement ?) j’ai pensé que j’allais enfin avoir droit au repos. En réalité, j’ai droit à un sursis.
Aujourd’hui, aux jeunes et aux moins jeunes à qui je passe le flambeau, je fais confiance pour accélérer le présent mouvement de révision générale de l’un des plus grands mensonges de toute l’histoire des hommes. Je leur dis : « N’ayez plus peur ! »
« Cordialement ». R. Faurisson